Dans notre précédent article, « Le cas structurel en faveur des infrastructures », nous avons mis en lumière le potentiel d’investissement en infrastructures privées – des réseaux de transport de pointe aux projets de transition énergétique en passant par les centres de données et les services essentiels tels que l’éducation et la santé. Nous passons désormais du contexte structurel à la question pratique : comment les investisseurs peuvent-ils naviguer parmi les différentes options disponibles ?

Le marché de l’infrastructure est souvent présenté comme un bloc homogène, alors qu’il recouvre en réalité un large éventail d’actifs, de modèles d’exploitation et de profils de risque. Pour clarifier, les investissements privés en infrastructure sont généralement regroupés en quatre stratégies : Core, Core Plus, Value-Added et Opportunistic. Chacune reflète un niveau différent de complexité opérationnelle, de niveau de risque et d’attentes de rendement. Comprendre ces distinctions offre aux investisseurs un cadre plus précis pour construire une exposition adaptée à leurs objectifs, préférences et appétit pour le risque.

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